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Le 22 novembre prochain se tiendra à Angers dans le Maine-et-Loire (49), la première édition régionale des Soirée Connect ordinairement organisées sur Paris. L’objectif de cette soirée est de rassembler une centaine de dirigeants du web de la région Ouest afin d’échanger sur leurs expériences et leurs savoir-faire. Le 22 novembre prochain, Angers deviendra un instant la capitale régionale du Web. Quelques 100 dirigeants de la région sont en effet attendus dans la capitale angevine à l’occasion de la soirée Connect. Objectif de l’évènement : rassembler les acteurs du Web de la région pour partager et échanger autour de leurs expériences et savoir-faire, et accompagner la véritable dynamique engagée depuis quelques années dans la région angevine.  Les soirées Connect existent sur Paris depuis près de 3 ans et y ont fait leurs preuves. C’est Philippe Juredieu, directeur conseil de l’agence 1789.fr®, qui a souhaité adapter ce concept à la région angevine dans le but de fédérer les professionnels du secteur et de leur permettre de se renforcer. « Les évènements qui existent autour du web dans la région attirent principalement des agences qui gravitent autour du Web. Nous avons voulu rompre ce schéma et proposer une soirée à l’anglo-saxonne, dédiée aux entrepreneurs qui œuvrent au quotidien sur Internet et font le Web dans la région. » explique Philippe Juredieu. Pour animer la soirée, c’est Jean-François Ruiz, dirigeant de PowerOn®, créateur des soirées Connect parisiennes et blogueur influent, qui fera office de  maître de cérémonie. Jean-François Ruiz à été distingué parmi les 100 personnalités du numérique en France. Il est également auteur du livre réussir avec les réseaux sociaux et intervient régulièrement en qualité d’expert sur les salons eMarketing, dans les écoles supérieures, à la radio ou encore dans la presse. A quelques jours de l’évènement plus de 100 personnalités du Web ont déjà confirmé leur présence. Un élément de plus qui montre le positionnement définitivement numérique des acteurs de la région.

Zscaler, leader des services de sécurité et de contrôle du trafic Web des entreprises grâce à l’utilisation du modèle SaaS (« Security as a Service ») ou « in-the-cloud », vient de publier son rapport sur l’Etat du Web au 4ème trimestre 2010. Le rapport détaille les menaces visant les entreprises et traite notamment des diverses questions auxquelles sont confontés les utilisateurs d’Internet. Parmi les nombreuses conclusions, le rapport détaille l’évolution des facteurs de menaces sur le web ainsi que les efforts mis en œuvre par des sites populaires pour améliorer la sécurité des utilisateurs. Malgré tout, les pirates ont continué à se concentrer sur les attaques d’ingénierie afin de contourner les systèmes de sécurité existants.

Les données sont partout et tous les jours, les consommateurs sont exposés à une variété de menaces de collecte de données. Alors que la protection des données est devenue une préoccupation mondiale, il est important de comprendre qui collecte nos données et comment cela se fait. Cet article s’attachera à analyser les collecteurs de données les plus agressifs et à expliquer pourquoi ils sont si agressifs. Qu’est-ce que la collecte de données ? La collecte de données est le processus par lequel des entreprises et des organisations recueillent des informations sur un large éventail de sujets, allant des préférences des consommateurs à leurs habitudes de navigation et d’achat. La collecte de données peut être effectuée à l’aide de diverses méthodes, notamment des enquêtes, des journaux d’utilisation, des applications et des sites Web, des appareils mobiles et des médias sociaux. Les données collectées sont ensuite traitées et analysées afin de comprendre les habitudes des consommateurs et de développer des produits et des services adaptés à leurs besoins. Qui sont les collecteurs de données les plus agressifs ? Il existe de nombreux acteurs qui collectent des données sur les consommateurs. Cependant, certains sont plus agressifs que d’autres. Les plus agressifs sont : Les réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter et Instagram Les sites Web et applications tels que Amazon, eBay et Google Les téléphones et tablettes, y compris les appareils mobiles et les ordinateurs portables Les fournisseurs d’accès Internet et les fournisseurs de services cloud Les entreprises qui exploitent des bases de données de données personnelles Les sociétés de marketing et de publicité Comment collectent-ils des données ? Les collecteurs de données agressifs utilisent une variété de méthodes pour collecter des données sur les consommateurs. Ces méthodes comprennent : Le suivi des mouvements des consommateurs sur le Web et le suivi de leur activité sur les réseaux sociaux La collecte d’informations sur les préférences des consommateurs à l’aide de cookies et de technologies similaires Le suivi des informations personnelles telles que les adresses e-mail et les numéros de téléphone L’utilisation de méthodes d’intelligence artificielle pour analyser les informations recueillies La collecte et le traitement des données sur les appareils mobiles et les ordinateurs portables La surveillance des réseaux internet pour collecter des informations sur les consommateurs La surveillance des activités des consommateurs sur les médias sociaux et leurs interactions avec les sites Web et les applications Pourquoi sont-ils si agressifs ? Les collecteurs de données agressifs sont agressifs dans leurs méthodes de collecte de données car ils veulent obtenir autant d’informations que possible sur les consommateurs. Cela leur permet de mieux comprendre leurs habitudes et de développer des produits et des services qui répondent à leurs besoins. Les collecteurs de données agressifs peuvent également vendre les informations recueillies à des tiers, ce qui leur permet de gagner plus d’argent. Comment les consommateurs peuvent-ils se protéger ? Les consommateurs peuvent prendre des mesures pour se protéger contre les collecteurs de données agressifs. Ces mesures comprennent : Lire et comprendre la politique de confidentialité

Créer un site est indispensable de nos jours, et ce, pour tous les professionnels. Inutile de revenir là-dessus. Néanmoins, sachez que ce n’est pas n’importe quelle plateforme qui peut vous assurer une bonne visibilité sur le web. C’est d’autant plus le cas lorsque la concurrence y est de plus en plus importante depuis quelques années. Voici ce que vous devez savoir sur le sujet. Un site à l’image de votre entreprise et en rapport avec votre activité Il ne suffit pas de copier le site internet d’un concurrent pour vous vous assurer une bonne présence en ligne. Une création de site internet doit être une démarche réfléchie. Ce qui vous permettra de mieux vous différencier sur le marché. C’est important non seulement pour attirer l’attention et pour séduire une nouvelle part de marché, mais aussi pour fidéliser les clients que vous avez déjà et les prospects. Lors de la création de site internet, tenez compte de l’image que vous souhaitez renvoyer. Ce doit être en rapport avec l’identité de votre entreprise et le genre de services que vous comptez offrir. Que valent les plateformes de création de site internet ? C’est LA grande question : que valent réellement les plateformes de création site internet ? Elles sont gratuites. De quoi en séduire plus d’un. Si elles sont conseillées pour les bloggeurs et ceux qui cherchent à créer un site internet personnel, ce n’est pas le cas pour les marques et les prestataires de services. Cela donnera souvent une image peu professionnelle à votre société. Ne vous laissez pas séduire par la campagne de publicité très alléchante de ce type de site. Si les prestations de base sont réellement gratuites, elles ne vous permettent pas de personnaliser totalement votre site. Sans compter que pour un site internet efficace, vous assurant une bonne visibilité comme vous l’espérez, vous devez utiliser plusieurs fonctionnalités payantes de ces plateformes. Au final, le devis de la création de site internet s’avèrera souvent plus important que si vous aviez fait appel à un professionnel. Faire appel à des professionnels pour créer votre site internet Confiez la création du site internet de votre entreprise à un expert dès le départ. Sachez que pour ce faire, plusieurs professionnels doivent travailler de concert. Vous avez notamment les développeurs qui créent les lignes de code de votre plateforme. Ils donnent vie à votre idée du site internet idéal. Ensuite, les webmasters interviennent pour embellir votre plateforme afin de le rendre plus agréable et plus convivial, mais surtout plus facile à utiliser. Les agences web peuvent également vous proposer des rédacteurs et des intégrateurs qui créent et mettent en ligne vos contenus. Tout comme elles disposent d’équipes à même de se charger du travail d’optimisation et de référencement de votre site. Ce qui devrait vous assurer une image de marque sur le marché. Le devis de la création d’un site internet évolue selon les caractéristiques de celui-ci. En moyenne, un site vitrine vous coutera entre 2 000 et 20 000 euros. Pour

De plus en plus d’entreprises décident de faire appel aux services des experts en informatique et en applications spécifiques pour dématérialiser les procédures administratives et optimiser le rendement de leurs collaborateurs. La démocratisation des documents électroniques est soutenue par l’Etat à travers plusieurs règlementations. Aujourd’hui, la dématérialisation est un passage obligé pour les entreprises, mais également pour les collectivités locales et les administrations. Les nouvelles technologies permettent de mettre en œuvre des projets innovants dans tous les secteurs d’activités. Les entreprises ont plusieurs raisons pour passer à la dématérialisation. Une solution pratique pour gagner en efficacité Grâce aux nouvelles technologies, les entreprises ont la possibilité d’optimiser le rendement quotidien de leurs salariés. Le cadre légal favorable et l’essor de l’e-administration sont généralement considérés comme les principaux facteurs qui ont déterminé l’essor de ces solutions. De son côté, l’Etat encourage la démocratisation du document électronique. La transition au numérique a été mise en place il y a 5 ans.  Depuis 2012, les entreprises sont obligées à télédéclarer la TVA. D’ici 2020, la plupart des factures de l’Etat et des divers fournisseurs seront dématérialisées. Quels services pour un développement informatique sur mesure ? La dématérialisation des procédures administratives s’avère bénéfique pour les fournisseurs de services comme pour les clients français et internationaux. Les professionnels des directions métier peuvent ainsi traiter, gérer et diffuser plus facilement les factures. Ce système facilite le traitement de tous les documents commerciaux. Les dernières années, le Saas et le cloud occupent une place de plus en plus importante au sein des entreprises françaises. Pour réussir à mettre en place les outils internes nécessaires à la transition numérique, pensez à solliciter les experts en informatique. Ces derniers peuvent vous donner des conseils adaptés à vos priorités professionnelles. Forts d’une dizaine d’années d’expérience, les spécialistes d’Orkeis vous accompagnent dans la réalisation de votre projet de dématérialisation. Ils vous proposent des services de haut standard pour le développement informatique de votre entreprise. Les ingénieurs diplômés d’Orkeis développent des applications spécifiques pour faciliter vos projets de gestion et peuvent adapter les solutions proposées à l’ensemble de votre système d’information. Ils peuvent également prendre en charge la réalisation d’applications mobiles, le développement web, l’assistance technique et la maintenance informatique. Sur le site Orkeis.fr, vous avez la possibilité d’obtenir plus de renseignements sur leur gamme de services.

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Du 10 au 12 février dernier, le Président François Hollande s’est rendu aux Etats-Unis pour ouvrir les portes à de nouveaux partenariats entre les deux pays. La visite a porté notamment sur les projets des entrepreneurs français de la Silicon Valley. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le Président a rencontré plusieurs acteurs incontournables du web, tels qu’Eric Schmidt (Google), Sheryl Sandberg (Facebook) et Jack Dorsey (Twitter). Suite à une interview avec Juan Hernandez, un professionnel du web et des NTIC à la Silicon Valley, le magazine Les Echos dresse un portrait des start-up françaises qui se sont installées à la Silicon Valley. Il parle notamment de la « French Tech », une mission créée pour encourager les entrepreneurs français du domaine du numérique et soutenir leurs projets innovants. Selon Juan Hernandez, la Silicon Valley compte actuellement 10.000 entrepreneurs d’origine française. Parmi les secteurs les plus porteurs pour les start-up françaises aux Etats-Unis, on peut énumérer l’informatique, l’électronique, l’énergie et l’aéronautique. Juan Hernandez pense également que les entrepreneurs français ont séduit la communauté de la Silicon Valley par leurs compétences techniques, leur esprit d’innovation et leurs qualités relationnelles.L’offensive de charme à la Silicon Valley Lors de sa visite aux Etats-Unis, François Hollande a eu des rendez-vous avec les géants du web (Google, Twitter, Facebook), mais aussi avec Loïc Le Meur, Jérôme Lecat de Scality, Pierre Omidyar d’eBay et d’autres entrepreneurs français. Toutes ces rencontres ont eu pour but de faciliter le développement des start-up françaises, notamment de celles du domaine de l’édition de logiciels, ayant des projets ambitieux de développement à l’international. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle sa visite a été nommée « l’offensive de charme ». Le 11 février, suite à une conférence avec le Président américain Barack Obama, François Hollande a annoncé l’ouverture d’un nouveau dialogue économique entre les deux pays pour accroître la compétitivité des start-up françaises de la Silicon Valley et pour encourager les porteurs de projets innovants. Il s’agit notamment d’une collaboration dans les domaines de la science et des nouvelles technologies. A travers les réformes proposées, le Président François Hollande vise à booster la compétitivité de la France à l’échelle internationale. De plus, il considère que la France fait partie des pays les plus ouverts aux capitaux extérieurs et que les pratiques d’optimisation fiscale devront cesser. Les réformes proposées par François Hollande concernent notamment le dispositif du financement participatif, qui entrera bientôt en vigueur en France. A cet effet, une plateforme dédiée au financement participatif sera créée afin de faciliter la mise en relation des porteurs de projets avec des investisseurs. De plus, il vient de déclarer que la France reste favorable à l’installation des start-up sur le territoire américain, ainsi qu’aux investisseurs étrangers en France. Tout ceci dans l’objectif d’encourager le développement des projets innovants et des entrepreneurs français.

Selon les dernières statistiques des ventes en ligne dans le secteur de la mode, les sites e-commerce dédiés à la vente de chaussures ont connu un succès très rapide par rapport à l’année précédente. Ce succès est dû à plusieurs raisons, notamment aux prix, à la diversité de l’offre, à la qualité des prestations et à des campagnes de communication web très efficaces. Selon une enquête réalisée récemment par Spartoo,  les tendances de la consommation en ligne des clients français ont été très favorables au marché des chaussures. Même si  c’est un sous-secteur minoritaire, les ventes de chaussures en ligne ont connu une forte progression ces derniers mois en France. Ainsi, on distingue trois acteurs principaux du marché des chaussures en ligne en France: Spartoo (avec une progression des ventes de 40% par rapport à l’année précédente), Sarenza (avec une progression des ventes de 20%) et Zalando. Face à ces tendances, les commerçants traditionnels ont commencé à accorder plus d’importance à l’e-commerce. C’est la raison pour laquelle certains commerçants tels que Gémo, La Halle aux Chaussures ou Minelli ont lancé leur propres sites e-commerce depuis la fin 2010. Toutefois, le cabinet d’études Xerfi redoute la durabilité de la hausse des ventes des chaussures en ligne. Selon ses estimations, le volume d’achats pourrait baisser d’ici 2013. Une préférence pour les chaussures en ligne, pourquoi ? Les ventes de chaussures en ligne ont connu une très forte progression pour plusieurs raisons : l’attractivité des prix des chaussures la variété de l’offre, en termes de modèles, couleurs et pointures la qualité des services en ligne l’efficacité des campagnes de publicité en ligne L’e-commerce et la qualité des services En ce qui concerne la qualité des services en ligne, les commerçants du secteur de la mode disposent  de sites e-commerce très performants, qui proposent même un service d’essai virtuel. Sur ces sites, l’architecture de chaque fiche produit est très claire, ce qui permet à l’internaute de choisir rapidement les tailles et les couleurs. Les e-commerçants proposent également des délais de livraison de plus en plus courts et un service de retour gratuit. Certains d’entre eux proposent même un délai de 24 heures entre le moment où la commandé est passée et l’expédition. En matière de paiement en ligne, les sites e-commerce proposent souvent des solutions sécurisées, rapides et efficaces. L’e-commerce et les campagnes de communication web Selon une étude de cas Google Insights, presque la totalité du budget de communication de Spartoo est dédié aux campagnes de communication web. Il s’agit notamment des campagnes de liens sponsorisés et par les bannières publicitaires, auxquelles s’ajoutent également des campagnes saisonnières, mises en place notamment pour les soldes. Ce mois-ci, Spartoo a mis en place une campagne de communication humanitaire, en faveurs des victimes des catastrophes naturelles. Ainsi, Spartoo propose à ses clients de renvoyer gratuitement des chaussures usées, mais en bon état, afin de les recycler. Pour l’envoi des chaussures, les clients bénéficient d’un service de transport gratuit, grâce aux étiquettes prépayées Colissimo.

Selon une étude de l’équipementier de télécommunications américain Cisco, le trafic internet mondial devrait être multiplié par 4 d’ici 2016. Une augmentation somme toute évidente, au regard de la multiplication des interfaces pour aller surfer sur le web et du nombre croissant d’internautes et autres sites web. Un web ou une connexion qui irait de plus en plus en vite dans l’avenir ? C’est en tout cas ce que nous prédit l’équipementier américain Cisco à travers une étude réalisée sur le trafic internet mondial. L’équipementier spécialisé dans les télécommunications prévoit en effet que le trafic web devrait être multiplié par 4 d’ici à 2016. Une augmentation qui concernerait aussi bien le nombre de connexions que le débit.  Pour Cisco, en 2016 le nombre de connexions devrait atteindre les 18,9 milliards et 1,3 zettaoctets pour ce qui est du débit. Une croissance potentielle qui serait dû à plusieurs facteurs : une augmentation du nombre des internautes, la multiplication des plateformes de communications comme les smartphones et les tablettes et le développement de la connexion sans fil. Pour ce qui est des internautes, Cisco estime que ces derniers seraient 3,4 milliards en 2016. Quant au développement du wifi, il passerait de 9 mégabits par seconde à 34 Mb/s. Mais au regard de l’évolution rapide et grandissante du net et des moyens de communication, ces prédictions sont quelques peu normales. Il faut donc s’attendre à voir de plus en plus d’informations, de création de site web et de personnes connectées.

Les 10, 11 et 12 mai 2011, le salon du logiciel libre reprend ses quartiers au CNIT de Paris – La Défense. Pour sa treizième édition, Tarsus France, organisateur de l’événement, offre au salon un retour aux sources. Durant 3 jours, plus de 200 exposants se retrouveront au CNIT pour échanger autour des dernières tendances et évolutions du marché des logiciels libres. La France est plus que jamais un vecteur de croissance pour le logiciel libre, avec une croissance des dépenses en 2010 de près de 35% (Sce : Pierre Audoin Consultants), soit un chiffre d’affaires d’1,5 milliards d’Euros. Tarsus France accueillera près de 10 000 visiteurs et exposants. Elle offrira un contenu riche, composé de tables rondes, d’ateliers et de sessions spécifiques.Cette année, les formations payantes seront retravaillées avec le comité de programme pour créer un nouveau cycle de conférences techniques et visionnaires en accès libre. L’édition 2011 du salon y abordera l’ensemble des thématiques adressant les acteurs du libre, sous un angle aussi bien économique et business que technologique : Cloud computing, mobilité, BI, Network management, interopérabilité, CMS, sécurité, temps réel, collaboratif, Web services, Datacenter, virtualisation,… Le salon conserve en outre une recette qui fait son succès depuis 12 ans : son coeur, le village associatif, qui rassemblera plus d’une soixantaine d’associations ; des sessions spécifiques, consacrées notamment à l’Éducation ; complétées par des espaces dédiés aux univers de la mobilité et du e-commerce. Solutions Linux/Open Source 2011 accueillera également comme par le passé des groupements d’entreprises, organisés au sein de villages dédiés, tels le village du consortium OW2, le village tunisien ou encore celui d’Alliance Libre avec Nantes Métropole Développement.