Le géant américain de la distribution en ligne eBay a annoncé ce mercredi avoir été victime d’une cyberattaque. Il conseille à ses utilisateurs de changer de mot de passe. Une base de données du site eBay a été la cible d’une cyberattaque entre la fin février et le début mars. Cette base de données contenait des noms de clients, des mots de passe cryptés, des adresses de mails, des dates de naissance, des adresses postales et des numéros de téléphone. Si le groupe indique ne pas avoir de preuve que des informations financières ou liées à des cartes bancaires aient été piratées, eBay recommande à ses utilisateurs de changer de mot de passe.

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Les données sont partout et tous les jours, les consommateurs sont exposés à une variété de menaces de collecte de données. Alors que la protection des données est devenue une préoccupation mondiale, il est important de comprendre qui collecte nos données et comment cela se fait. Cet article s’attachera à analyser les collecteurs de données les plus agressifs et à expliquer pourquoi ils sont si agressifs. Qu’est-ce que la collecte de données ? La collecte de données est le processus par lequel des entreprises et des organisations recueillent des informations sur un large éventail de sujets, allant des préférences des consommateurs à leurs habitudes de navigation et d’achat. La collecte de données peut être effectuée à l’aide de diverses méthodes, notamment des enquêtes, des journaux d’utilisation, des applications et des sites Web, des appareils mobiles et des médias sociaux. Les données collectées sont ensuite traitées et analysées afin de comprendre les habitudes des consommateurs et de développer des produits et des services adaptés à leurs besoins. Qui sont les collecteurs de données les plus agressifs ? Il existe de nombreux acteurs qui collectent des données sur les consommateurs. Cependant, certains sont plus agressifs que d’autres. Les plus agressifs sont : Les réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter et Instagram Les sites Web et applications tels que Amazon, eBay et Google Les téléphones et tablettes, y compris les appareils mobiles et les ordinateurs portables Les fournisseurs d’accès Internet et les fournisseurs de services cloud Les entreprises qui exploitent des bases de données de données personnelles Les sociétés de marketing et de publicité Comment collectent-ils des données ? Les collecteurs de données agressifs utilisent une variété de méthodes pour collecter des données sur les consommateurs. Ces méthodes comprennent : Le suivi des mouvements des consommateurs sur le Web et le suivi de leur activité sur les réseaux sociaux La collecte d’informations sur les préférences des consommateurs à l’aide de cookies et de technologies similaires Le suivi des informations personnelles telles que les adresses e-mail et les numéros de téléphone L’utilisation de méthodes d’intelligence artificielle pour analyser les informations recueillies La collecte et le traitement des données sur les appareils mobiles et les ordinateurs portables La surveillance des réseaux internet pour collecter des informations sur les consommateurs La surveillance des activités des consommateurs sur les médias sociaux et leurs interactions avec les sites Web et les applications Pourquoi sont-ils si agressifs ? Les collecteurs de données agressifs sont agressifs dans leurs méthodes de collecte de données car ils veulent obtenir autant d’informations que possible sur les consommateurs. Cela leur permet de mieux comprendre leurs habitudes et de développer des produits et des services qui répondent à leurs besoins. Les collecteurs de données agressifs peuvent également vendre les informations recueillies à des tiers, ce qui leur permet de gagner plus d’argent. Comment les consommateurs peuvent-ils se protéger ? Les consommateurs peuvent prendre des mesures pour se protéger contre les collecteurs de données agressifs. Ces mesures comprennent : Lire et comprendre la politique de confidentialité

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Du 10 au 12 février dernier, le Président François Hollande s’est rendu aux Etats-Unis pour ouvrir les portes à de nouveaux partenariats entre les deux pays. La visite a porté notamment sur les projets des entrepreneurs français de la Silicon Valley. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le Président a rencontré plusieurs acteurs incontournables du web, tels qu’Eric Schmidt (Google), Sheryl Sandberg (Facebook) et Jack Dorsey (Twitter). Suite à une interview avec Juan Hernandez, un professionnel du web et des NTIC à la Silicon Valley, le magazine Les Echos dresse un portrait des start-up françaises qui se sont installées à la Silicon Valley. Il parle notamment de la « French Tech », une mission créée pour encourager les entrepreneurs français du domaine du numérique et soutenir leurs projets innovants. Selon Juan Hernandez, la Silicon Valley compte actuellement 10.000 entrepreneurs d’origine française. Parmi les secteurs les plus porteurs pour les start-up françaises aux Etats-Unis, on peut énumérer l’informatique, l’électronique, l’énergie et l’aéronautique. Juan Hernandez pense également que les entrepreneurs français ont séduit la communauté de la Silicon Valley par leurs compétences techniques, leur esprit d’innovation et leurs qualités relationnelles.L’offensive de charme à la Silicon Valley Lors de sa visite aux Etats-Unis, François Hollande a eu des rendez-vous avec les géants du web (Google, Twitter, Facebook), mais aussi avec Loïc Le Meur, Jérôme Lecat de Scality, Pierre Omidyar d’eBay et d’autres entrepreneurs français. Toutes ces rencontres ont eu pour but de faciliter le développement des start-up françaises, notamment de celles du domaine de l’édition de logiciels, ayant des projets ambitieux de développement à l’international. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle sa visite a été nommée « l’offensive de charme ». Le 11 février, suite à une conférence avec le Président américain Barack Obama, François Hollande a annoncé l’ouverture d’un nouveau dialogue économique entre les deux pays pour accroître la compétitivité des start-up françaises de la Silicon Valley et pour encourager les porteurs de projets innovants. Il s’agit notamment d’une collaboration dans les domaines de la science et des nouvelles technologies. A travers les réformes proposées, le Président François Hollande vise à booster la compétitivité de la France à l’échelle internationale. De plus, il considère que la France fait partie des pays les plus ouverts aux capitaux extérieurs et que les pratiques d’optimisation fiscale devront cesser. Les réformes proposées par François Hollande concernent notamment le dispositif du financement participatif, qui entrera bientôt en vigueur en France. A cet effet, une plateforme dédiée au financement participatif sera créée afin de faciliter la mise en relation des porteurs de projets avec des investisseurs. De plus, il vient de déclarer que la France reste favorable à l’installation des start-up sur le territoire américain, ainsi qu’aux investisseurs étrangers en France. Tout ceci dans l’objectif d’encourager le développement des projets innovants et des entrepreneurs français.

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Selon le quotidien américain le New York Times, Skype, qui compte plus de 480 millions d’utilisateurs et qui appartient à eBay, pourrait être vendu à des investisseurs privés. Le logiciel téléphonie sur internet qui a réalisé un chiffre d’affaires de 170 millions de dollars (+25 %) lors du deuxième trimestre 2009 pourrait être cédé pour 2 milliards de dollars.

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