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Twitter a annoncé une nouvelle fonctionnalité de suggestion de comptes à suivre. Lors d’une nouvelle inscription, Twitter proposait aux nouveaux membres plusieurs listes de personnes, identiques à suivre. Désormais, ces suggestions seront personnalisées en fonction de la navigation Internet de l’inscrit. « Nous recevons des informations de trafic quand des sites ont intégré des boutons ou des widgets Twitter […]. En identifiant les comptes fréquemment suivis par des gens qui visitent des sites populaires, nous pouvons recommander ces comptes à d’autres utilisateurs qui ont également visité ces sites au cours des dix derniers jours », explique Twitter. Le réseau social propose aux personnes qui ne souhaiteraient pas être « pistée » avant leur inscription, de refuser cette utilisation sur le site au moment de l’inscription.

Arrivé il y a quelques semaines sur Twitter, le chef de l’Etat a fortement animé Twitter le mois dernier. Selon une analyse réalisée par TNS Sofres et Semiocast pour Metro et TF1 News, Nicolas Sarkozy a suscité pas moins de 758 400 messages en février (+ 90% par rapport à janvier).

Une nouvelle étude menée par Semiocast sur la totalité des 383 millions de profils d’utilisateurs de Twitter créés avant le 1er janvier 2012 établit un nouveau classement des pays par nombre d’utilisateurs de Twitter et montre la croissance du réseau social en France. Sur ces 383 millions de profils d’utilisateurs de Twitter, 5,2 millions sont en France, dont près d’un million se sont inscrits au quatrième trimestre 2011. Le nombre d’utilisateurs français a ainsi plus que doublé sur l’année 2011. La France conserve la 16e place du classement, représentant 1,4% de tous les utilisateurs. Dans le classement mondial des pays par nombre d’utilisateurs de Twitter, les États-Unis conservent leur première place avec désormais 107,7 millions d’utilisateurs au 1er janvier 2012, soit 28,1% de la base totale des utilisateurs de Twitter. Si les États-Unis ne cessent de perdre du terrain face aux autres pays, c’est surtout pour des raisons historiques, le nombre d’utilisateurs dans ce pays continuant de croître, seulement relativement moins rapidement que des pays venus plus tardivement sur le réseau social. Le Brésil est désormais le deuxième pays qui compte le plus de comptes Twitter (33,3 millions), devant le Japon (29,5 millions). Cependant, les brésiliens sont moins actifs que les japonais et surtout postent moins de messages : seulement 25% des brésiliens ont posté un message entre le 1er septembre et le 1er décembre 2011 contre 30% des japonais (la moyenne mondiale est à 27%). Le japonais demeure ainsi la deuxième langue la plus utilisée après l’anglais. Le Royaume-Uni, avec 23,8 millions d’utilisateurs au 1er janvier 2012, se positionne en quatrième place au niveau mondial, devant l’Indonésie (5e) qui totalise 19,5 millions d’utilisateurs. Les pays suivants sont l’Inde, le Mexique, les Philippines, l’Espagne et le Canada. Les nombreux pays hispanophones dans les 20 principaux pays (Venezuela, Colombie, Argentine, Chili) expliquent la place de l’espagnol sur Twitter, 4e langue après le portugais et devant l’indonésien. Depuis janvier 2011, le néerlandais est la sixième langue la plus utilisée sur Twitter et pourtant les Pays-Bas ne figurent qu’en 17e position de notre classement avec 5,2 millions d’utilisateurs, soit 1,3% du total.

Dans un récent communiqué, F-Secure vous propose 3 moyens simples pour faire le ménage dans votre compte Twitter.A lire pour tous les accros …

A l’occasion de la 40tc de Twitter à Los Angeles, Biz Stone, le co-fondateur de Twitter a annoncé réfléchir à différentes possibilités pour rendre le célèbre réseau social rentable. Parmi les solutions envisagées, la commercialisation de services à destination des entreprises. Biz Stone a prévenu qu’aucune publicité ne serait présente sur le site cette année. « Toute sorte d’approche vers la publicité se fera dans un certain temps… Nous ne pensons pas à cela pour le moment « , a déclaré Biz Stone selon des propos rapportés par Reuters.

Les données sont partout et tous les jours, les consommateurs sont exposés à une variété de menaces de collecte de données. Alors que la protection des données est devenue une préoccupation mondiale, il est important de comprendre qui collecte nos données et comment cela se fait. Cet article s’attachera à analyser les collecteurs de données les plus agressifs et à expliquer pourquoi ils sont si agressifs. Qu’est-ce que la collecte de données ? La collecte de données est le processus par lequel des entreprises et des organisations recueillent des informations sur un large éventail de sujets, allant des préférences des consommateurs à leurs habitudes de navigation et d’achat. La collecte de données peut être effectuée à l’aide de diverses méthodes, notamment des enquêtes, des journaux d’utilisation, des applications et des sites Web, des appareils mobiles et des médias sociaux. Les données collectées sont ensuite traitées et analysées afin de comprendre les habitudes des consommateurs et de développer des produits et des services adaptés à leurs besoins. Qui sont les collecteurs de données les plus agressifs ? Il existe de nombreux acteurs qui collectent des données sur les consommateurs. Cependant, certains sont plus agressifs que d’autres. Les plus agressifs sont : Les réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter et Instagram Les sites Web et applications tels que Amazon, eBay et Google Les téléphones et tablettes, y compris les appareils mobiles et les ordinateurs portables Les fournisseurs d’accès Internet et les fournisseurs de services cloud Les entreprises qui exploitent des bases de données de données personnelles Les sociétés de marketing et de publicité Comment collectent-ils des données ? Les collecteurs de données agressifs utilisent une variété de méthodes pour collecter des données sur les consommateurs. Ces méthodes comprennent : Le suivi des mouvements des consommateurs sur le Web et le suivi de leur activité sur les réseaux sociaux La collecte d’informations sur les préférences des consommateurs à l’aide de cookies et de technologies similaires Le suivi des informations personnelles telles que les adresses e-mail et les numéros de téléphone L’utilisation de méthodes d’intelligence artificielle pour analyser les informations recueillies La collecte et le traitement des données sur les appareils mobiles et les ordinateurs portables La surveillance des réseaux internet pour collecter des informations sur les consommateurs La surveillance des activités des consommateurs sur les médias sociaux et leurs interactions avec les sites Web et les applications Pourquoi sont-ils si agressifs ? Les collecteurs de données agressifs sont agressifs dans leurs méthodes de collecte de données car ils veulent obtenir autant d’informations que possible sur les consommateurs. Cela leur permet de mieux comprendre leurs habitudes et de développer des produits et des services qui répondent à leurs besoins. Les collecteurs de données agressifs peuvent également vendre les informations recueillies à des tiers, ce qui leur permet de gagner plus d’argent. Comment les consommateurs peuvent-ils se protéger ? Les consommateurs peuvent prendre des mesures pour se protéger contre les collecteurs de données agressifs. Ces mesures comprennent : Lire et comprendre la politique de confidentialité

Il existe plusieurs manières de façonner la conversation autour de votre marque, mais gardez à l’esprit qu’aucune combinaison d’actions n’est infaillible. Quiconque essaie de comprendre la nature de la réputation se rendra rapidement compte que cela dépend des perceptions, et personne ne peut complètement contrôler cela. Cependant, ces actions peuvent aider à atténuer les plus grandes menaces pour votre marque. 1. Définissez les valeurs de votre marque La première étape vers une protection efficace de la marque est d’avoir une idée claire de ce que vous représentez. Bien que certains traits soient partagés entre les marques, réfléchissez à ce qui vous rend unique, ainsi qu’à ce que vous représentez ou à qui vous représentez. Cela aide à clarifier où vous devez commercialiser votre marque et à qui. Ces informations doivent être utilisées avec un guide de recherche de mots clés et d’autres ressources de marketing numérique pour élaborer une stratégie publicitaire depuis ce lien. Par exemple, si votre marque vend des vêtements pour hommes, vous ne voulez pas faire de publicité sur un site Web destiné aux femmes. Ce n’est pas que ce dernier soit répréhensible ; ce n’est tout simplement pas pertinent pour ce que vous faites. De même, une marque de chocolat de luxe ne voudra pas faire de publicité sur un blog faisant la promotion d’une alimentation saine. Ni la marque ni le blog ne sont immoraux, mais leurs valeurs sont incompatibles et leur proximité risque de ternir la réputation de chaque marque. En vous assurant que vos valeurs ou vos objectifs commerciaux correspondent (ou ne contredisent pas activement) l’endroit où ils apparaissent, vous êtes plus susceptible d’inspirer des sentiments positifs aux clients potentiels. 2. Utilisez un ciblage négatif Par nécessité, définir ce que vous ne représentez (en repérant vos valeurs et par des méthodes telles que l’analyse concurrent SEO rapport de) vous aide à établir ce que vous ne tenez trop. C’est une bonne idée de formaliser ce dernier en utilisant un processus appelé ciblage négatif. Le ciblage négatif est une liste de mots-clés, de sujets et de publications auxquels vous ne souhaitez explicitement pas vous associer. Vous souhaiterez peut-être éviter ceux-ci en raison d’un manque de pertinence, d’un décalage dans le public cible ou d’une mauvaise réputation de la part de la publication. Certains sites Web vous permettent d’exécuter un ciblage négatif à partir de campagnes publicitaires. Même s’ils ne le font pas, c’est une bonne idée d’avoir une liste séparée des choses auxquelles vous ne voulez pas que votre marque soit associée. Partagez-le largement parmi les collègues qui ont besoin de le voir. De la même manière que l’automatisation des processus via la robotique offre un flux de travail plus rationalisé et plus précis, le consensus sur le ciblage des publicités rend le travail de votre équipe plus simple. 3. Choisissez les bonnes plateformes Le ciblage négatif est un élément clé au moment de décider où les annonces sont diffusées. Cela est particulièrement vrai lorsqu’il s’agit de choisir une plateforme publicitaire. Internet d’aujourd’hui offre

Le site reconversionprofessionnelle.org vient de publier un classement des métiers les plus porteurs en 2018. Ce classement comporte plusieurs métiers du web, dont les webmasters, les Community Managers et analystes web. La présence des métiers du web dans le classement 2018 est due aux évolutions des besoins des entreprises, qui sont de plus en plus nombreuses à communiquer sur Internet. Pour leurs campagnes de communication, elles utilisent de plus en plus souvent les sites web, les blogs et les réseaux sociaux. Quelles sont les opportunités de l’Internet pour les entreprises ? De nombreuses entreprises utilisent les supports web pour promouvoir leur savoir-faire. Elles créent des sites web pour acquérir de nouveaux contacts et pour développer leurs marchés. Pour cela, elles embauchent des webmasters qui les accompagnent dans la mise en place de leurs sites web et blogs. Les webmasters prennent en charge la maintenance technique, la mise à jour régulière des contenus et le suivi des performances de chaque site. En plus des sites web, les entreprises trouvent de nouvelles opportunités sur Facebook, Twitter, LinkedIn et les autres réseaux sociaux. De nombreuses PME utilisent également YouTube pour mettre à disposition de leurs utilisateurs des tutoriels, des interviews d’experts et d’autres vidéos. Pour la gestion de leur stratégie de communication sur les réseaux sociaux, elles travaillent avec des Community Managers. Ces derniers les accompagnent dans la gestion de leurs campagnes de communication, surveillent leur réputation en ligne et vérifient le respect de leur politique de communication sur les réseaux sociaux. Les formations dans la communication web Les métiers de webmaster et de Community Manager figurent en tête du classement publié par reconversionprofessionnelle.org. Plusieurs métiers du web sont présents également dans le Top 20, notamment les analystes web, les chefs de produits e-commerce et les chefs de projets applications web. C’est la raison pour laquelle l’école supérieure Ircom propose un Master en Communication, qui permet à ses étudiants de développer leurs compétences en stratégie digitale et communication sur les réseaux sociaux. Le Master en Communication se déroule sur 2 années, qui laissent la possibilité d’effectuer un stage de 4 mois dans une entreprise. Selon le projet de chaque étudiant, ce stage peut être remplacé par un projet entrepreneurial ou par une mobilité dans une université partenaire. La 2ème année de Master, les étudiants ont la possibilité de développer leurs compétences en stratégie digitale à travers un contrat d’alternance.

Du 10 au 12 février dernier, le Président François Hollande s’est rendu aux Etats-Unis pour ouvrir les portes à de nouveaux partenariats entre les deux pays. La visite a porté notamment sur les projets des entrepreneurs français de la Silicon Valley. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le Président a rencontré plusieurs acteurs incontournables du web, tels qu’Eric Schmidt (Google), Sheryl Sandberg (Facebook) et Jack Dorsey (Twitter). Suite à une interview avec Juan Hernandez, un professionnel du web et des NTIC à la Silicon Valley, le magazine Les Echos dresse un portrait des start-up françaises qui se sont installées à la Silicon Valley. Il parle notamment de la « French Tech », une mission créée pour encourager les entrepreneurs français du domaine du numérique et soutenir leurs projets innovants. Selon Juan Hernandez, la Silicon Valley compte actuellement 10.000 entrepreneurs d’origine française. Parmi les secteurs les plus porteurs pour les start-up françaises aux Etats-Unis, on peut énumérer l’informatique, l’électronique, l’énergie et l’aéronautique. Juan Hernandez pense également que les entrepreneurs français ont séduit la communauté de la Silicon Valley par leurs compétences techniques, leur esprit d’innovation et leurs qualités relationnelles.L’offensive de charme à la Silicon Valley Lors de sa visite aux Etats-Unis, François Hollande a eu des rendez-vous avec les géants du web (Google, Twitter, Facebook), mais aussi avec Loïc Le Meur, Jérôme Lecat de Scality, Pierre Omidyar d’eBay et d’autres entrepreneurs français. Toutes ces rencontres ont eu pour but de faciliter le développement des start-up françaises, notamment de celles du domaine de l’édition de logiciels, ayant des projets ambitieux de développement à l’international. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle sa visite a été nommée « l’offensive de charme ». Le 11 février, suite à une conférence avec le Président américain Barack Obama, François Hollande a annoncé l’ouverture d’un nouveau dialogue économique entre les deux pays pour accroître la compétitivité des start-up françaises de la Silicon Valley et pour encourager les porteurs de projets innovants. Il s’agit notamment d’une collaboration dans les domaines de la science et des nouvelles technologies. A travers les réformes proposées, le Président François Hollande vise à booster la compétitivité de la France à l’échelle internationale. De plus, il considère que la France fait partie des pays les plus ouverts aux capitaux extérieurs et que les pratiques d’optimisation fiscale devront cesser. Les réformes proposées par François Hollande concernent notamment le dispositif du financement participatif, qui entrera bientôt en vigueur en France. A cet effet, une plateforme dédiée au financement participatif sera créée afin de faciliter la mise en relation des porteurs de projets avec des investisseurs. De plus, il vient de déclarer que la France reste favorable à l’installation des start-up sur le territoire américain, ainsi qu’aux investisseurs étrangers en France. Tout ceci dans l’objectif d’encourager le développement des projets innovants et des entrepreneurs français.

Delphine Ernotte Cunci, directrice adjointe générale d’Orange, a annoncé sur son compte Twitter que Orange comptait actuellement 200 000 clients très haut débit. En ce qui concerne la fibre optique, Orange écrase toujours la concurrence. Orange pourrait dépasser les 300 000 clients dès la fin de l’année 2013.