Selon une étude réalisée par Greenpeace, les data centers qui permettent le fonctionnement du cloud computing génèrent beaucoup de CO2 et plus particulièrement ceux d’Apple, Microsoft et Amazon.
A l’heure où le cloud computing se développe de plus en plus (interface collaborative, transfert de gros fichiers, sauvegarde de données…), l’énergie qu’il faut pour alimenter ce développement dégage par conséquent beaucoup de CO2. Histoire de contrôler cette pollution, Greenpeace vient de réaliser une étude sur 14 sociétés américaines qui disposent de data centers ou fermes de serveurs qui permettent au cloud d’exister. De cette étude, il ressort « 3 élèves » peu enclins à utiliser les énergies renouvelables pour leurs centres. Il s’agit d’Amazon, Apple, et Microsoft.
Pour Greenpeace, ces 3 grandes entreprises utilisent peu les énergies renouvelables. En effet, le taux de pourcentage d’énergies propres sont faibles (13,9% pour Microsoft, 15,3% pour Apple et 13,5% pour Amazon). En bref, ces entreprises doivent revoir leurs copies. A l’opposé, l’ong a reconnu les efforts fournis par Yahoo, Facebook ou encore Google. En attendant, Greenpeace ne lâchera pas l’affaire puisque son souhait est de voir un cloud et un internet propres.
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